Les Dires de Zeta: Les Ondes d’Energie


Au cours des siècles derniers, l’humanité a évolué:

  1. d’un concept du monde environnant qui serait constitué de solides, de liquides et d’une forme spirituelle,
  2. à l’idée que l’Univers alentour est composé de matière, d’énergie, et d’une forme spirituelle,
  3. et à l’idée que matière et énergie sont constituée des mêmes éléments - les particules subatomiques.

En fait, tout ce qui se peut percevoir, y compris les formes d’esprit, peut prétendre avoir une nature propre, bien que nous, Zêtas, ne puissions rien dire en ce qui concerne la composition de l’esprit, ce que nous appelons le matériau de l’âme, car nous n’avons pas nous-mêmes cette information à partager avec l’humanité. De cela nous ignorons tout. L’humanité a commencé sur le tard à subdiviser l’atome en ce qu’elle appela des particules subatomiques, et à parler de plus en plus d’énergie en observant les particules en déplacement rapide dans des ondes de différentes amplitudes, périodes ou vitesses, ce que les humains dénomment par fréquence. Le fait que l’énergie puisse n’être qu’une particule subatomique en déplacement au sein de la matière est de plus en plus accepté. Quoi qu’il en soit, pourquoi celle-ci se déplace-t-elle, et pourquoi sur certaines ondes, reste encore un peu mystérieux.

Si nous voulons parler du mouvement des particules subatomiques, l’analogie avec le comportement des liquides peut aider les humains à comprendre les choses. Les humains savent bien que l’eau peut être à son tour solide, sous forme de glace, ou en mouvement si elle reste liquide. Ils savent bien aussi que l’eau prend moins de place quand elle est froide que quand elle est chaude, à cause d’une concentration de l’énergie calorifique en un même lieu. On peut appliquer le même concept à ce que les humains nomment matière et énergie, l’énergie n’étant rien d’autre que des particules de matière en déplacement, et en déplacement du fait de la concentration d’autres particules au même endroit. L’espace s’est trouvé trop plein, et tout comme la circulation de l’eau est due en partie à la différence de température, les particules subatomiques vont leur chemin pour contrebalancer une trop grande occupation de l’espace au niveau de l’atome.

A partir de ce qu’on appelle un big bang, les particules sont projetées dans toutes les directions. Elles sont toutes en mouvement. Comme les projections diverses ne sont jamais égales en force au sein d’une même explosion, certaines particules sont plus rapides que d’autres, et quand les éléments de ces différentes projections entrent en collision, que ce soit vers le centre de l’explosion ou à sa périphérie, il se produit un mouvement circulaire qui tend à aplanir la pression. Au bout d’un certain temps, il se produit ce que vous observez dans votre Univers. Tout ce qui bouge ne s’arrête jamais, et il n’y a pas de mouvement qui n’augmente ou ne diminue, et cela partout. L’humanité a remarqué cette tendance de la nature et l’a appelé conservation de l’énergie. Même à l’intérieur des trous noirs en formation, le mouvement persiste, et ce mouvement suit les mêmes modèles hors des trous noirs.

Au sein des atomes, les particules subatomiques sont liées au noyau exactement comme les planètes le sont au Soleil, à cause de la présence d’une particule subatomique pourvue du même comportement que les particules de gravité dans un système solaire. Le mouvement permanent qui fait plonger les particules vers le noyau génère rapidement une occupation maximale de l’espace qu’un flux sortant libère alors, et ces particules se retrouvent bientôt à la périphérie dans un espace plus aéré avant de replonger vers le noyau du fait de leur attirance intrinsèque respective. Ce que la matière recherche est un état statique où tout serait à égalité et au repos, gelé, mais comme il n’y a pas d’égalité dans la matière à cause des différences intrinsèques entre les particules en termes de taille et de nature, le mouvement ne peut pas s’arrêter jamais. Elle essaie à l’infini, sans y parvenir.

Les particules subatomiques se déplacent en ondes à cause de cette attraction et de ce désir de compenser l’occupation de l’espace. L’indécision et les phénomènes périodiques sont chose courante dans la Nature, et leur formation est suivie d’un déclin progressif jusqu'à ce qu’un seuil soit atteint, alors ils se forment à nouveau. On trouve des pulsations dans le cosmos, les étoiles qui meurent en ont, les battements du cœur en sont, et de la même façon les particules subatomiques ont-elles des pulsations. Le même mécanisme est en jeu, et cela n’a absolument rien à voir avec la vitesse d’éjection à partir d’une source donnée, ce qui est actuellement l’explication fantaisiste qu’en donnent les scientifiques. L’espace, l’espace même qui se trouve au sein d’un atome, comporte bien peu de vide, mais est au contraire rempli de toutes sortes de particules infinitésimales que l’homme n’a pas encore découvertes. De nombreuses particules ou groupes de particules ont un déplacement qui est tout sauf droit, car ils créent une pression devant eux à cette occasion, et font latéralement un « zig », pour découvrir qu’ils font à nouveau pression devant eux donc ils doivent faire le « zag ». Ce cheminement n’est pas chaotique, mais c’est un zig-zag qui suit une ligne droite, car la pression engendrée à gauche pousse le « zig » vers la droite, et celle qui est engendrée à droite rencontre un vide à gauche qui vient de se créer par essence. Le « zig-zag » se reproduit lui-même.

L’humanité pense qu’une seule particule se déplace en onde, suivie docilement d’une autre particule le long d’une sorte de ligne oscillante. Est-ce ainsi que cela se passe, oui et non. Si deux particules seulement étaient en déplacement, avançant dans la même direction pour avoir la même raison de se déplacer, elle institueraient plutôt le genre de ballet que font les étoiles doubles. Elles interagissent entre elles tout en étant affectées par de multiples autres facteurs. Ces deux particules s’éloignent l’une de l’autre pour réduire l’espace occupé mais elles réalisent qu’elles sont attirées l’une par l’autre après que l’espace ait été désempli, et s’approchent alors à nouveau l’une de l’autre. L’action ondulatoire n’est pas du tout ce que les hommes pensent, à savoir un déplacement ondulatoire singulier. C’est un déplacement multiple, mais tout à la même amplitude, période et fréquence. Si les humains pouvaient observer la scène, ils ne verraient pas une onde, mais une sorte de tuyau.