Les Dires de Zeta: Le Désert de Gobi


Notre émissaire, Nancy, va vous décrire sa visite en notre demeure du désert de Gobi, où nous l’avons invitée à nous suivre.

Début de la Vision.

Nous nous rendîmes là-bas dans un grand vaisseau, plus grand que ceux qui servent habituellement aux contacts de routine, et ce vaisseau possédait un sol et un plafond translucides et de couleur marron. Nous pénétrâmes dans un flanc de montagnes, après avoir traversé un désert aride. Il n’y avait ni arbres ni végétation d’aucune sorte sur ce flanc de montagne. L’entrée dans la demeure des Zêtas avait été percée artificiellement, et on ne la voyait pas de loin. L’entrée se trouvait aux abords d’un canyon, sur le côté même de ce canyon, et notre trajectoire prit un virage. Le grand vaisseau (qui aurait facilement pu transporter 50 personnes) vint se positionner à l’entrée sur une sorte de rails, ce qui lui permit d’être guidé, et tout en étant maintenu de chaque côté il fut doucement emmené vers son point d’attache. On me montra une grotte naturelle, en un endroit, qui était remplie de vaisseaux au repos, comme garés là. Bien que l’endroit eût des contours irréguliers, comme toute grotte naturelle, je pus dénombrer environ 30 vaisseaux de toutes tailles.

Les parois de grottes naturelles que je traversai semblaient tapissées d’une substance particulière, de couleur blanc jaune, et qui brillait un peu. Cela ressemblait quelque peu à la couleur et la brillance de l’intérieur de leurs vaisseaux, aussi peut-être s’agissait-il de la même matière. Nous nous rendîmes d’abord dans une pièce résidentielle en longeant un pont de bois suspendu qui permettait le passage au-dessus du sol des grottes et entre les ouvertures naturelles (ou parfois artificielles) de ces grottes. Les habitacles descendaient en cascade de chaque côté de cette grotte résidentielle, de telle sorte que toutes les demeures possédaient un patio. Il y avait des portails ouverts en forme d’arche, mais aucune fenêtre. Je vis un Zêta se déplacer comme en flottant dans les airs d’un côté à l’autre de la grotte, sans avoir apparemment besoin de marcher, et s’envoler de nouveau pour revenir de l’autre côté.

En allant dans une autre grotte, je fus d’abord surprise car on aurait dit une station thermale. Il y avait des plantes vertes qui poussaient dans des espèces de piscines chauffées, mais la vue de ce qui semblait être des corps flottant sur l’eau claire, face en bas, me laissa perplexe. Etaient-ils morts ? Etaient-ils en train de nager? Le Zêta qui me servait de guide m’expliqua: « C’est ainsi que nous nous ressourçons » et je réalisai que les Zêtas qui flottaient dans la piscine étaient vivants.

Fin de la vision